Des chercheurs IRDiens de Géoazur et du DPRI de Kyoto University ont publié, dans la revue Nature, une étude montrant que l’on peut exploiter des signaux gravitationnels pour estimer de manière instantanée la magnitude des grands séismes. Ces signaux, qui sont très faibles et se propagent à la vitesse de la lumière, ont été découverts en 2017 dans les données du séisme de 2011 à Fukushima. Cette étude pourrait permettre, à terme, la mise en place de systèmes d’alerte des tsunamis plus fiables et plus rapides.
Des chercheurs et ingénieurs du laboratoire Géoazur (Université Côte d’Azur, CNRS, OCA, IRD), de Karlsruhe Institute of Technology, de l'Instituto Geofísico / Escuela Politécnica Nacional (IG-EPN, Quito), de l'Instituto Oceanográfico de la Armada del Ecuador (INOCAR, Guayaquil) et de Imperial college of London sont partis du 13 mars au 14 avril 2022 à bord du navire océanographique L’Atalante pour réaliser la campagne à la mer HIPER2 (High Resolution Imaging of the subduction fault in the Pedernales earthquake rupture zone).
Des chercheurs du laboratoire Geoazur (CNRS-IRD-OCA-Université Côte d'Azur) collaborent au projet ANR PIA3 Equipex+ MARMOR (Marine Advanced geophysical Research equipment and Mayotte multidisciplinary Observatory for research and Response).
Quand la surface de la Terre tremble, on ne penserait pas, à première vue, à regarder au fond des mers ou des océans. Et pourtant...
La première mission du projet AMORGOS, piloté par Frédérique Leclerc, enseignante-chercheuse UCA au laboratoire Géoazur (UCA-CNRS- OCA-IRD) et Javier Escartin, Chargée de Recherche CNRS à l’ENS de Paris (ULM), a démarrée le 28 mars 2022.
Les scientifiques sont partis pour deux semaines de campagne en mer Egée sur L'Europe, navire de l’IFREMER. Les données récoltées permettront de mieux comprendre le séisme dévastateur qui a eu lieu au large d'Amorgos en 1956.
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